http://save-bee.com/rss/ Wed, 29 Sep 2010 02:39:10 MSD Wed, 29 Sep 2010 02:39:10 MSD http://save-bee.com
Aujourd'hui s'est ouvert le site
http://save-bee.com/blog/post/id/165 <p>Nous avons inauguré ce site le 2 septembre 2008, en solidarité avec la Journée Internationale de Protection des Abeilles. Nous espérons qu’il attirera l’attention de personnes du monde entier sur le problème de disparition des abeilles sur Terre. Nous réunirons et publierons toutes les informations récentes concernant ce phénomène dans des langues différentes.<br /> <br /><br /> <br />Chaque visiteur du site peut protéger les abeilles : notre page d’accueil vous offre la possibilité d’obtenir aussitôt un certificat qui vous permettra de supporter activement cette Journée Internationale de Protection des Abeilles.<br /> <br /><br /> <br />La partie « expéditions » de notre site donne des informations enrichissantes sur l’apiculture dans différents coins du monde.<br /> <br /><br /> <br />Par ailleurs, nous sommes persuadés de l’importance capitale de joindre nos efforts, en vue de trouver d’éventuelles solutions à la décimation des abeilles. La section « Communauté » permet aux personnes du monde entier de partager leurs compétences et leurs connaissances sur le monde des abeilles, l’apiculture et les différentes manières de protéger ces insectes.<br /> <br /><br /> <br />Nous pensons que notre site Internet peut aider tout le monde à agir pour cette bonne cause. Unissons nos forces pour protéger les abeilles!<br /> <br /><br /> <br /><br /> <br /><img width="600" height="400" alt="" src="/public/upload/image/bee(1).jpg" /></p> ...
Parc National de Vichersky
http://save-bee.com/blog/post/id/164 <br />Parc National de Vichersky (par Baharev Anton) <br /> <br />Les abeilles font part intégrante de la faune des forêts et est un élément essentiel de l’éco-système. Ils vivent en harmonie et se complètent l’un l’autre. Les forêts doivent beaucoup aux abeilles et vice et versa. Les forêts leur apportent de la nourriture, partagent leur énergie par leurs jus vitaux, les protègent par leurs ombres, les défendent des vents forts, des rayons du soleil parfois trop chauds et de l’air hivernal dense. Les abeilles, dans leur ont encouragé de nombreux arbres et plantes herbacées, aident à préserver les espèces de plantes et à maintenir la balance biologique. <br /> <br />Les hommes primitifs cherchent régulièrement des troncs d’arbres qui contiennent des nids d’abeilles et les détruisent afin d’en récupérer le miel, la cire d’abeille, le propolis, le pollen et les progénitures des faux-bourdons. L’abeille butineuse fut peu à peu remplacée par la manufacture et les gens ont commencé à fabriquer des troncs d’arbres artificiels pour les abeilles, des troncs d’arbres évidés. Ainsi, un chasseur de miel sauvage évolua petit à petit en un apiculteur de troncs d’arbres creusés. <br /> <br />Cette forme d’apiculture au XXIème siècle est quasi inexistante et est seulement exercée dans quelques coins du monde. <br /> <br />2006 a fêté l’établissement de ruchers d’apiculture dans des troncs d’arbres évidés au Parc National de Vichersky, entre la taïga et le nord de la chaîne de montagnes Ouraliennes. <br /> <br />Les terres des parcs nationaux sont interdites de culture. Toute exploitation (minière ou autre), toute coupe de bois, toute récolte de plantes médicinales, ramassage de champignons, de baies ou de fleurs, toute construction de nouveaux bâtiments industriels ou agricoles, ou encore tout accès non-autorisé sur le territoire, sont strictement interdits. <br /> <br />La taïga a été très peu touchée et fait partie du grand Parme, forêts de la communauté des Komis. Les versants des montagnes, les prés, la toundra, les forêts denses, les cours d’eau rocailleux et les bords des rivières cachent des plantes spécifiques, dont 30 espèces ont déjà été répertoriées dans le Livre Rouge des régions de l’Oural et de la Russie. Les animaux et les oiseaux peuvent parfois entendre le déclic des appareils photos de scientifiques, qui remplacent ceux des tirs d’armes. <br /> <br />Les ruches des troncs d’arbres évidés sont situées sur le bord du parc national. L’une d’elles est appelée : « Le Petit Trou Rond ». Deux branches de la rivière Vichéra, séparées par une longue île se sont à nouveau réunies, en raison d’un tourbillon qui a emporté une partie de la terre. <br /> <br />Il y a une petite maison en bois entre les pins et les sapins, avec une petite « bania » à côté. Le second rucher est situé dans la taïga - Lipya, connue dans le monde entier, où la rivière Lipya se jette dans la rivière Vichéra. Cet endroit fut longtemps habité par un ermite de l’Oural, Sérafima Sobyanina, ou la fameuse Sophia. Il n’y aucune route qui mène à Lipya et les vieux chemins Mansis ont été recouverts d’arbres et de forêts d’arbustes. On ne peut donc y accéder qu’en bateau. C’est une région encore très sauvage, avec aucune plante industrielle visible à 200 kilomètres aux alentours et où l’air, l’eau et la terre ne sont pas pollués. <br /> <br />Là, les étés sont très courts, ne dépassant jamais 2 mois. La neige peut tenir jusqu’en juin et les feuilles des arbres changent déjà de couleur fin août. Malgré tout, la vie bat son plein dans le parc national. La faune et la flore triomphent : petits et grands animaux joueurs, chants joyeux d’oiseaux et herbe dans les prés atteignant la taille d’un être humain. <br /> <br />Etant donné que les étés sont courts, les abeilles doivent produire un miel de très bonne qualité, afin que même des petites quantités de miel soient suffisantes à la colonie durant la période hivernale, longue et froide. Les abeilles travaillent le nectar très minutieusement ; de fait, le miel du nord est enrichi de propriétés très bénéfiques et ne peut être concurrencé par aucun autre miel dans le monde entier. Les abeilles du Nord sont robustes et peuvent résister à des conditions météorologiques difficiles. Elles n’ont besoin d’aucun remède vétérinaire, ce qui rend le miel naturel, purifié de tout produit chimique. La reine des abeilles est très fertile et peut produire jusqu’à 3 000 œufs par jour. Les abeilles travailleuses utilisent le jour pour récolter un maximum de miel, pouvant parfois en transporter jusque 85 milligrammes de nectar par mois. ...
Parc National de Choulgan Tach
http://save-bee.com/blog/post/id/163 Parc National de Choulgan Tach <br /> <br />Les régions sud de l’Oural forment une grande partie de la chaîne de montages ouraliennes. Elles bordent les steppes de l’Aral au sud, de nombreux lacs dans les steppes forestières au sud-est, des forêts variées et des conifères à l’ouest et au nord-est. La région sud de l’Oural est longtemps restée désertée des hommes. Les conditions météorologiques de cette région sont pourtant très favorables à l’apiculture. L’équipement intégral de l’apiculture dans des troncs d’arbres évidés fut découvert dans un cumulus Birsk près de la ville d’Oufa. Les fouilles archéologiques l’ont daté de plus de 15 000 d’années. Les apiculteurs y vivent encore de nos jours. Il existe le Parc national de Choulgan Tach dans le district Bourzyansk, dans la vallée de la rivière Belaya. Le point culminant de ce parc national reste la grotte de Kapov, une des caves les plus grandes du sud de l’Oural : sa profondeur dépasse les deux kilomètres. La rivière Choulgan s’écoule dans la grotte. Celle-ci est notamment célèbre pour ses peintures datant de plus de 14 000 ans. <br /> <br />La beauté de ce site est inimaginable. La vallée est entourée de montagnes couvertes de forêts de pins et de bosquets de chênes. Les chevaux pâturent dans les prés des montagnes. Il y a également quelques villages où l’apiculture dans des troncs d’arbres évidés est pratiquée. <br /> <br />Les anciennes techniques d’apiculture sont seulement pratiquées par une cinquantaine de personnes. Elles représentent les dynasties cette forme d’apiculture, dont les origines datent des temps anciens. La plupart des apiculteurs travaillent aussi comme gardiens des forêts dans le parc national ou prennent soin des arbres creusés. Les outils nécessaires à l’apiculture dans des troncs d’arbres évidés ont peu changé jusqu’à nos jours : un kiram, une ceinture de cuir afin de grimper à l’arbre, un outil en bois afin de rester accroché à l’arbre, une serpe, une corde peu épaisse, une hache, un enfumoir et un récipient en bois pour le miel. Les ruches situées dans les troncs sont fabriquées à l’intérieur de vieux pins, à 16 mètres du sol. Ces ruches sont souvent gardées pendant des dizaines d’années et sont transmises aux générations suivantes, en marquant chaque arbre de leur tamga. Une grande fenêtre scellée par un cadre de bois est utilisée en vue de faire attention à ces ruches et de récolter le miel. La fenêtre est recouverte de brindilles afin de protéger les ruches des oiseaux et des petits animaux. Des filets en métal sont placés sur le dessus. Afin de protéger les ruches des amoureux-du-miel, des ours et des toukmaks, une lourde bûche est pendue à une corde épaisse sous la ruche. <br /> <br />Les apiculteurs s’occupent de leurs arbres et maintiennent les bois en état ; ils déplacent notamment les branches mortes afin d’éviter tout éventuel incendie. <br /> <br />Les valeurs spirituelles et morales constituent un réel mode de vie pour ces apiculteurs de troncs d’arbres creusés. On pense en effet que les abeilles peuvent juger une personne « bonne » ou « mauvaise ». C’est la raison pour laquelle les personnes « méchantes » ne peuvent accéder à ce métier. Les alcooliques ne peuvent approcher ces insectes, car ils sont voués à être piqué. Les abeilles sont très sensibles, c’est pourquoi ces apiculteurs ne peuvent fumer de tabac. En regardant leur mode de vie si simple et en regardant leur visage d’ange, vous êtes abasourdis par l’harmonie intérieure surprenante des apiculteurs des forêts. Ces personnes terre-à-terre sont l’exemple même prouvant que le miel a une valeur morale. <br /> <br />Néanmoins, la civilisation a atteint ces terres et le endroit unique risque de disparaître. Des dépôts de Baryum et de minerais polymétaliques ont été découverts à l’époque soviétique, mais ne furent pas beaucoup développés, car trop près des réserves naturelles. On commence seulement à faire quelques exploitations, notamment par le biais d’installations de stockage de l’eau, construites sur la rivière Belaya. Les villageois vivant à proximité ont été forcés de quitter leurs terres et leurs demeures. Des routes et des ponts très résistants ont été construits à cet endroit. La grotte de Kapov risque d’être submergée. Ces endroits changent, mais pas du côté positif. C’est la raison pour laquelle c’est notre devoir d’apporter notre soutien et de conserver les vieilles traditions. <br /> ...
Pérou 2008
http://save-bee.com/blog/post/id/162 <br /> <br /><strong>Pérou 2008</strong><br /> <br /><br /> <br />Le Pérou est connu dans le monde entier pour ses merveilleux sites anciens. Les cultures Chavin, Chimu, Nazca, Tiahuanaco, Mochica et Inca ont laissé derrière elles de véritables trésors que les nouvelles générations ont la chance de pouvoir découvrir.<br /> <br /><br /> <br />A cette époque si prospère, le Grand Empire des Incas s’étendait du Pérou au Chili et en Argentine. La ville de Cusco, qui signifie « Centre de l’Univers », était la capitale de cet empire. Les premiers colons espagnols furent éblouis par la lumière des temples d’or lorsqu’ils pénétrèrent dans la ville. Le fameux Machu Pichu est une des villes mystérieuses Inca, perdue dans la jungle et entourée de vastes canyons dans les Andes.<br /> <br /><br /> <br />Mis à part ses scènes célèbres et encore très mystérieuses, le Désert de Nazca comporte de nombreux monuments très bien conservés, issus d’anciennes cultures indiennes péruviennes.<br /> <br /><br /> <br />Le Lac Titicaca, à la frontière du Pérou et de la Bolivie, se situe à 3 810 mètres d’altitude ; il est ainsi le lac navigable le plus grand et le plus haut du monde. Ses îles sont encore peuplées d’Indiens Aymara.<br /> <br /><br /> <br />En plus d’être connu pour ses sites historiques et culturels, le Pérou est connu pour ses diversité naturelles impressionnantes : jungle tropicale de la plaine amazonienne où l'Amazone prend son nom, troupeaux de lamas et de vigognes se nourrissant sur les immenses plateaux des Andes et vol majestueux du condor visible du Canyon de Colca.<br /> <br /><br /> <br />En ce qui concerne les ruches, le Brésil est le pays le plus développé d’Amérique du Sud et se place au deuxième rang mondial d’exportation de miel, après la Chine. Le Pérou ne peut guère développer son commerce de miel, étant donné que la plupart de ses terres se trouvent en altitude.<br /> <br /><br /> <br />Lors de notre séjour au Pérou, nous avons visité une ferme apicole Didascalia, située près du monastère Catholique Lumen Dei (Lumière de Dieu) dans la Vallée Sacrée des Incas.<br /> <br /><br /> <br />De petits ruchers comportaient une centaine de colonies d’abeilles. Les ruches étaient en bois et à multiples niveaux. Un des ruchers était situé près du monastère.<br /> <br /><br /> <br />Le miel produit dans cette région est appelé « mille fleurs ». Pendant la période de floraison, il est également possible de le recueillir à partir d’eucalyptus et de cresson. Le pollen, la cire et le miel des abeilles sont très précieux. De sérieux contrôles sur la qualité du miel sont établis sur place, dans un petit laboratoire.<br /> <br /><br /> <br />Le miel péruvien présente de nombreux avantages, comme tout miel de montagne. Le miel frais est connu pour son parfum exceptionnel d’eucalyptus et d’autres plantes sud-américaines. Les conditions pour l’apiculture au Pérou varient en fonction des zones climatiques. Dans les zones tropicales et sur les côtes par exemple, les abeilles font du miel toute l’année. Dans les régions montagneuses, où les températures descendent très bas l’hiver, les ruches sont alors conservées dans des endroits chauds durant la période d’hivernage.<br /> ...
Mexique (2007)
http://save-bee.com/blog/post/id/161 <strong><br /> <br />Expédition à Chiapas, Mexique</strong><br /> <br /><br /> <br />Journal de bord de Tatiana Karavachkina et Eugenie Guk<br /> <br /><br /> <br />Nous avons été accueillies comme des rois par les apiculteurs locaux. Nous avons alors appris que nous étions les premiers Russes à venir dans la région. Nous avons eu des conversations très enrichissantes avec eux, avant d’aller sur leur lieu de travail. Ils nous ont offert du miel et du pollen d’abeilles et nous ont parlé de leur commerce. Là, le miel est extrait toute l’année, avec une production de miel allant jusqu’à 60 tonnes par an. Le patron des apiculteurs nous fit part de son problème concernant les Abeilles Africanisées et fut surpris de voir que nous n’étions pas confrontés à de telles difficultés. Comparé au nôtre, leur miel est bien différent, de par son goût très particulier, quelque peu amer. Leur pollen d’abeilles est de couleur plus claire, mais a bien plus de goût ! Le miel est conservé avant d’être exporté dans des tonneaux de 200 litres. Par ailleurs, les apiculteurs locaux produisent et moulent du café. Après notre entretien, nous sommes montés dans un grand camion qui nous mena au rucher.<br /> <br /><br /> <br />Le rucher était situé sur le flanc d’une montagne. Les abeilles n’avaient pas l’air ravies de nous voir et s’avérèrent même furieuses ! Cela provient notamment de l’invasion et de la multiplication des abeilles Africanisées sur les lieux. Le rucher était petit, comprenant seulement 30 ou 40 ruches, mais n’était pas le seul rucher sur place. Les ruches étaient de taille ordinaire, tout comme les nôtres.<br /> <br /><br /> <br />Nous avons tout d’abord fait le voyage jusqu’au rucher en bus, puis en camion. Le vent était fort et chaud. Nous nous sommes senties soulagées une fois arrivés au rucher, apaisés par le doux parfum de miel. Les abeilles sur place étaient petites et très mignonnes mais leurs ruches n’en étaient pas moins protégées pour autant ! La visite du rucher fut courte, malgré mon grand désir de passer davantage de temps avec les abeilles. Je fus même une fois piquée, mais ce ne fut pas très douloureux.<br /> <br /><br /> <br />Nous avons acheté des échantillons de miel et avons quitté nos amis apiculteurs.<br /> <br /><br /> <br /><br /> <br /><strong>De Mérida à Cancún, Mexique</strong><br /> <br /><br /> <br />Notre matinée commença à l’Union Apicole Maya de Yucatán, où nous avons appris comment le miel était produit, exporté et contrôlé pour sa qualité. L’éventail de productions de l’Union est très large : shampoings à base de miel et de plantes diverses, pollen d’abeilles, soins pour la peau, produits faits à partir de gelée royale, pots de miel, friandises diverses et variées... J’ai par ailleurs acheté un livre très intéressant sur place, un dictionnaire sur l’apiculture, composé de termes Mayas datant de la période post-classique. Il s’est alors avéré que les traditions apicoles des Mayas étaient très similaires à nos techniques apicoles, ce qui raviva notre curiosité à ce sujet. <br /> <br /><br /> <br />Après Chichén Itzá et quelques autres villes, nous avons atteint un petit campement où nous avons rencontré une famille qui garde un registre de ruches sur un arbre au fond du jardin. Une technique identique était décrite dans le livre que je venais de me procurer. Inutile de dire que nous étions très excitées de voir cela de nos propres yeux ! Le vieil apiculteur aux cheveux grisonnants ne parlait pas un mot d’espagnol, étant donné que sa langue maternelle était le Maya, mais grâce à l’aide précieuse de sa fille, nous avons pu nous entretenir avec lui et apprendre que les ruches qu’ils utilisaient étaient seulement occupées par des abeilles melipones. Après avoir entendu de nombreuses anecdotes, visité les lieux et pris des échantillons de miel, nous sommes parties pour Cancún. Le dernier jour de notre voyage se déroula sur une île des Caraîbes.<br /> ...
Mongolie 2007
http://save-bee.com/blog/post/id/160 <br /> <br /><strong>Mongolie 2007</strong><br /> <br /><br /> <br />La Mongolie est un pays aux immenses steppes, aux lacs limpides et au ciel bleu azur. C’est le berceau des peuples qui ont ébranlé plus d'une fois le monde et dont les ancêtres occupaient une moitié d’Europe et la plupart du territoire asiatique. L’Empire Mongol fut l’Etat le plus puissant de toute l’histoire de l’Humanité.<br /> <br /><br /> <br />Mais ce fut il y a bien longtemps... Durant la seconde moitié du XXème siècle, « le monde civilisé » a fermé les yeux sur ce pays. La Russie a trouvé des problèmes bien plus importants à régler qu’apporter une aide solidaire dans l’implantation du communisme et c’est ainsi que les terres de Genghis Khan furent entièrement oubliées. Ceci est bien triste parce que la Mongolie offre des expériences uniques qu’un touriste ne pourra vivre nulle part ailleurs dans le monde. <br /> <br /><br /> <br />Malgré certains stéréotypes, la Mongolie est un pays versatile. Mis à part les steppes que l’on associe systématiquement au pays, la Mongolie comporte taïga et montagnes, avec le désert de Gobi au sud, de nombreuses rivières limpides et des lacs au centre et au nord du pays.<br /> <br /><br /> <br />La rivière Sélenga et ses affluents sont entourés de prairies et de collines recouvertes de plantes mellifères. Ce sont donc des régions très favorables à l’apiculture.<br /> <br /><br /> <br />L’histoire de l’apiculture mongole date de 1951, à Shamar (ville située dans la région de Sélenga). Bator Zhamts, propriétaire d’une ferme collective de la ville, apporta la première colonie d’abeilles de l’Union Soviétique à Shamar, près de la frontière russe, afin d’y implanter le premier rucher mongol.<br /> <br /><br /> <br />B. Zhamts avait travaillé dans cette ferme plus de trente ans. A cette époque, il s’efforça de développer l’apiculture en Mongolie - jusqu’à en arriver à son niveau actuel, et encouragea les jeunes apiculteurs à suivre son exemple. Depuis, B. Zhamts est considéré comme le fondateur de l’apiculture en Mongolie.<br /> <br /><br /> <br />La plupart des apiculteurs mongols ont fait leurs études en ex-URSS et parlent encore très bien russe. Lorsque la Russie, puis la Mongolie ont abandonné leurs efforts pour implanter le communisme, tout contact entre ces pays cessa. La perestroïka mongole transforma les ruchers gouvernementaux en entreprises privées. Les ruchers mongols sont mobiles : les ruches sont déplacées plusieurs fois dans l’année en été sur des lieux plus mellifères. L’équipement pour l’apiculture utilisé en Mongolie provient de Russie ou est conforme aux normes russes.<br /> <br /><br /> <br />L’espèce d’abeille la plus répandue est l’abeille grise russe. Les Mongols ont tenté de conserver les abeilles des Carpates et du Caucase, mais aucune ne put supporter des hivers si rudes, avec des températures allant jusque -50 degrés. Durant l’hiver, les abeilles sont mises dans des petits abris sous-terrains. La Mongolie a établi des laboratoires publics qui ont entrepris de contrôler et de certifier certains miels, selon leur qualité.<br /> <br /><br /> <br />De nos jours, il y a de nombreuses initiatives en vue de faire revivre les traditions d’apiculture mongole. De nombreuses associations augmentent la production de miel importé en Europe, au Japon et en Corée du Sud.<br /> <br /><br /> ...
Ethiopie 2008
http://save-bee.com/blog/post/id/159 <br /> <br /><strong>Ethiopie 2008</strong><br /> <br /><br /> <br />L’expédition de Tentorium en Afrique a eu lieu en février 2006, deuxième grand projet international dans le cadre du programme des expéditions de la compagnie. L’objectif de cette opération fut de découvrir et d’observer les techniques apicoles traditionnelles en Afrique.<br /> <br /><br /> <br />L’Ethiopie est au carrefour de deux cultures: la culture d’Abyssinie et la culture du Sud, païenne. Par conséquent, ce pays est un lieu unique où l’on peut voir les techniques utilisées par nos ancêtres et être témoin de l’évolution de l’apiculture : chasseurs d’abeilles, apiculteurs de troncs d’arbres évidés, pour en arriver aux apiculteurs d’aujourd’hui, aux techniques plus modernes.<br /> <br /><br /> <br />Les plateaux d’Abyssinie offrent un point de vue magnifique sur la savane. Son paysage est ravivé par des acacias de petite taille. Certains arbres comportent des pièges à abeilles ainsi que des ruches peu conventionnelles, en forme de longs cylindres. Les Africains utilisent des brindilles et des bâtons trempés dans de l’argile et fabriquent ainsi ces pièges. Ils mettent un peu de miel dans le piège, avant de pendre le tout à un arbre. Les essaims d’abeilles sauvages, attirés par le miel, s’approchent du piège et y construisent leur peigne. Ainsi, certains acacias deviennent de grands ruchers, contenant des dizaines de ruches, suspendues à leurs branches. Les troncs d’arbres, recouverts de fer, sont ainsi protégés des animaux sauvages.<br /> <br /><br /> <br />Les Konsos gagnent leur vie en cultivant ces plateaux. Les montages des terres Konsos sont couvertes de jardins très bien entretenus.<br /> <br /><br /> <br />Nous avons rencontré par hasard un apiculteur dans une ville Konso, dont les ruches étaient situées derrière la maison. Il nous a très fièrement fait part de ses compétences en la matière. A l’aide d’un enfumoir, il releva le couvercle d’une ruche et créa des peignes ronds remplis de miel.<br /> <br /><br /> <br />Un peu plus au sud, les groupes ethniques Tsamai, Arbore et Hamer habitent dans le creux d’une vallée entre le récif de deux montagnes. Là, on peut également rencontrer des apiculteurs expérimentés, dont l’aliment de base est le miel.<br /> <br /><br /> <br />Nous avons remarqué cela dans un village Hamer de Turmi, alors que nous visitions les ruchers d’un apiculteur. Les ruchers se révélèrent difficiles d’accès, avec seulement une route longue de plusieurs kilomètres, qui traversait la savane remplie de hauts buissons. Nous sommes finalement arrivées à un lit de rivière asséché. Profonde l’été, cette rivière est totalement asséchée jusqu’à la fin de la saison sèche. La nuit tomba très vite. Avec le ciel qui s’assombrissait, nous pouvions encore apercevoir quelques ruches, suspendues à des arbres volumineux. L’apiculteur se mit petit à petit au travail. Il fabriqua un objet à partir de citrouille séchée, vérifia le tranchant de sa lame et se mit à enfumer. Il n’avait aucun équipement protecteur sur lui. Lorsque la fumée devint plus épaisse, l’apiculteur monta à l’arbre. Sa silhouette était difficile à discerner, étant donné l’obscurité épaisse. Les flammes restantes de son enfumoir étaient la seule source de lumière qui illuminait timidement l’atmosphère mystique dans laquelle nous nous trouvions. L’apiculteur enfuma la ruche suspendue et en coupa le dessus avec son couteau. Très excitées, nous pouvions voir le cheminement de l’opération d’en bas. Des étincelles tombaient, étant donné que le feu brûlait parfois légèrement la l’arbre. Les peignes de miel récoltés étaient mis dans des calebasses recouvertes d’un couvercle. Le chasseur de miel agile redescendit de l’arbre et rejoignit les membres de Tentorium, qui l’attendaient avec impatience. Sans pouvoir résister à la tentation, nous avons immédiatement goûté le miel frais de la savane africaine. Avec un ciel noir au dessus de nos têtes, du sable sous nos pieds et un goût doux amer de miel, nous étions conscients que nous nous souviendrions de ce moment jusqu’à la fin de notre vie.<br /> <br /><br /> <br />Sur le chemin du retour, nous avons vu de nombreux ruchers traditionnels dans les banlieues de la capitale éthiopienne. Ils font en effet partie du programme de développement de l’apiculture et des campagnes de prévention contre la famine. Les ruches et les colonies d’abeilles peuvent être achetée à crédit. Ces prêts font partie des bénéfices. Les coûts de cette opération ne sont pas très élevés, étant donné que les ruches sont faites en contreplaqué, dans une petite entreprise située près de Addis Ababa.<br /> <br /><br /> <br />Les programmes de développement des pays en voie de développement par le biais de l’apiculture sont initiés et réalisés par Apimondia, Fédération Internationale des Associations d’Apiculteurs.<br /> <br /><br /> ...
Népal (2006-2008)
http://save-bee.com/blog/post/id/158 <strong><br /> <br />Expédition au Népal 2006 et 2008</strong><br /> <br /><br /> <br />Dans les montagnes de l’Himalaya, entre le Tibet et l’Inde, se trouve le Royaume du Népal.<br /> <br /><br /> <br />Ce pays est un véritable paradis pour les aventuriers, les chercheurs, les mystiques, les ethnographes, les pèlerins et les montagnards. Le Népal est placé 8ème des 14 plus hauts pics du monde s’élevant au-dessus de 8 000 kilomètres ; parmi eux se trouve le Mont Everest. Ce qui est fascinant, c’est de savoir que le premier homme à avoir gravi le Mont Everest, Edmund Hillary, était apiculteur en Nouvelles Zélande<br /> <br /><br /> <br />Le moyen le plus typique de faire du tourisme au Népal est de faire des excursions le long des montagnes. Cet itinéraire inclut alors jungle, champs et villages autochtones. Le pays a une densité de population importante, par conséquent, presque chaque coin de terre est cultivé et entretenu avec soins.<br /> <br /><br /> <br />Les ruches népalaises sont visibles depuis les maisons et les jardins des habitants. Elles sont fabriquées dans des troncs d’arbres creux et l’entrée est faite à l’horizontale, alors que chez nous, elle est faite à la verticale. Les Népalais adorent le miel récolté à partir de plantes mellifères, riches et variées. Les maisons d’hôtes que l’on peut trouver sur le chemin offrent toujours du miel de montagne, aux arômes exceptionnels. Même si l’apiculture au Népal est surtout développée dans les plaines, ce sont les montagnes qui montrent la façon de récolter et de produire le miel, à la manière d’antan. Là-bas, il existe la vieille tradition de chasser le miel sauvage dans la région de l’Annapurna. Les abeilles des montagnes construisent leurs ruches en altitude, s’abritant des falaises dans leurs peignes de miel. Les chasseurs de miel montent sur ces falaises, à l’aide d’équipements primitifs pour récolter le miel, luttant constamment contre les nuées d’abeilles qui les entourent. Travailler à de telles hauteurs est très risqué. De nos jours, les chasseurs de miel disparaissent. Leurs compétences de haut-vol sont en effet remplacées par des techniques apicoles … sur la terre ferme.<br /> <br />Le sud est occupé par les Plaines sauvages du Gange (Inde), avec de nombreux commerces apicoles qui produisent du miel pour l’export. La marque de miel népalais Guru, par exemple, est vendue en Europe. Le pain népalais, fabriqué à partir des reines des abeilles, est très demandé dans ces pays.<br /> <br /><br /> ...
Les scientifiques russes déclenchent l’alarme sur l’extinction massive d’abeilles à l’étranger – Situation en Russie
http://save-bee.com/blog/post/id/157 <div align="center" style="font-size: 13.5pt;"><b>Les scientifiques russes déclenchent l’alarme sur l’extinction massive d’abeilles à l’étranger – Situation en Russie</b></div> <br /><br /> <br /><br /> <br /><strong><em>Page 3, problème soulevé n°5, rucher russe, 2007</em></strong><br /> <br /><br /> <br />Le 3 mai 2007, l’Institut de Recherches Russes sur La Santé des Animaux d’Expérimentation a accueilli un séminaire organisé par le Département des Pathologies des Abeilles et de la Santé des Animaux de l’Académie Agricole Russe. Cette rencontre fut principalement menée par des experts et chercheurs russes de l’Institut de Recherches Russes sur La Santé des Animaux d’Expérimentation, ainsi que par des représentants d’autres instituts de recherche, journalistes et experts en apiculture. Le programme incluait le problème de la disparition des abeilles en Europe et aux Etats-Unis. Voici les points essentiels de ce séminaire.<br /> <br /><br /> <br /><strong>R. T. Klotchko, docteur en biologie, est un des chercheurs principaux du laboratoire de l’Institut de Recherches Russe en Hygiène et Ecologie</strong>. Celui-ci souligne quelques raisons pour lesquelles les abeilles disparaîtraient massivement dans les pays étrangers. Les médias de masse ont largement débattu cela. La situation actuelle ressemble de près à celle de la Russie en 2002-2003 ; les experts ont alors tenté de trouver des dizaines de raisons différentes permettant expliquer ce véritable carnage et en ont omis la cause principale. Soulignons que ce mystère concernant la décimation des abeilles hante véritablement les pays industrialisés, où l’apiculture a considérablement baissé.<br /> <br /><br /> <br />Des indices montrent que cette décimation d’abeilles en Europe et aux Etats-Unis peut provenir de l’utilisation de pesticides, nuisibles à la santé des insectes.<br /> <br /><br /> <br />La France a parlé récemment de Fipronyl et d’Imidocloprid, largement utilisés sur les tournesols et autres plantes parasites. Il a été prouvé que les pesticides pénétraient le pollen et le nectar des plantes et désorientaient ainsi les abeilles. Le Fipronyl a été prohibé en France et l’utilisation d’Imidocloprid a été longtemps limitée, avant d’être interdite. L’Imidocloprid a fait aussi son apparition en Russie. D’autres pesticides très forts peuvent être nuisibles aux abeilles, étant donné qu’ils s’accumulent dans le sol et sont ensuite transmis dans différentes parties de la plante. Le Fipronyl en est un bon exemple.<br /> <br /><br /> <br />Une autre raison de la décimation des abeilles est intimement liée à l’existence de plantes transgéniques et de produits génétiquement modifiés, présents dans de nombreux pays. Par ailleurs, les abeilles disparaissent en plus grand nombre aux Etats-Unis, pays à la tête de la production et de la reproduction de plantes génétiquement modifiées (GM).<br /> <br /><br /> <br />La chaîne alimentaire des abeilles peut contracter le pollen de nombreuses plantes GM, dont le pollen de maïs. Les scientifiques occidentaux tentent de prouver cette hypothèse. Il n’y a pas encore d’études sur le sujet en Russie. Cependant, de telles analyses deviennent de plus en plus nécessaires, étant donné qu’il n’existe aucun réel contrôle sur l’importation des semences GM ni sur les autres produits provenant de plantes GM. Par exemple, 50% du miel russe provient des tournesols. La quantité de miel provenant de plantes GM est difficile à déterminer. Les scientifiques américains et canadiens reconnaissent que la décimation des abeilles dans leur pays peut provenir de l’utilisation massive de sirop d’érable, à haute teneur en fructose, qui alimente les abeilles. La mobilité des abeilles et leur disparition importante pourraient être dues à l’utilisation des téléphones portables dans les pays industrialisés. C’est à cette conclusion qu’en sont venus les experts allemands, très avancés dans le domaine de l’apicole. <br /> <br /><br /> <br />Depuis des dizaines d’années, le principal critère pour sélectionner les abeilles reste, leur productivité et non leur résistance aux éventuelles maladies. Les fécondations artificielles ont finalement privé les abeilles de la sélection naturelle. De fait, les abeilles ont perdu en grande partie leur moyen de défense contres de nombreux virus.<br /> <br /><br /> <br />En conclusion, nous pouvons souligner que les actions de l’Homme ont considérablement détérioré les abeilles. Nous avons maintenant presque atteint le moment où la survie de ces abeilles est devenue un problème délicat à traiter.<br /> <br /><br /> <br /><strong>O. F. Groboff, professeur à l’Institut de Recherches Russes sur La Santé des Animaux d’Expérimentation</strong>, a insisté sur le fait que, les siècles derniers, nous avons également été témoin de vagues de décimation massive d’abeilles. Ce véritable carnage a tout d’abord touché l’Irlande en 1680, puis les régions Bachkires en Russie dans les années 1890. L’Inde a perdu près de 90% de ses abeilles en raison du virus du couvain sacciforme dans les années 1970. Les plantes GM ont été une réelle menace pour les abeilles. Plus de 25 000 des jardins, agricultures, industries, plantes ornementales (et autres) transgéniques ont été inventés en seulement 25 ans. Les Etats-Unis produisent 40 espèces différentes de plantes agricoles transgéniques, alors que l’Europe seulement 21. Par conséquent, le pollen des plantes GM s’est largement étendu par le biais du vent et des insectes pollinisateurs. Par exemple, le pollen de maïs peut aller jusqu’à 30 kilomètres en deux heures, sans perdre aucune de ses propriétés. Le pollen de colza peut également se répartir sur de longues distances et polleniser le cresson amer. De fait, les nouvelles plantes GM apparaissent à des endroits bien reculés de leur lieu de culture originaire. Aux Etats-Unis, par exemple on peut trouver des sortes de maïs GM qui se sont rapidement mêlées à des variétés de maïs comestibles. Le Mexique et le Guatemala ont été privés de variétés de maïs de grande valeur et l’Inde a vu disparaître le riz sauvage.<br /> <br /><br /> <br />Les insectes meurent sur les lieux où l’on cultive des plantes GM. Les Chinois ont pu remarquer que les papillons à soie disparaissaient également à l’endroit où le riz GM était cultivé. Une des raisons qui expliquerait ce phénomène serait que le pollen du riz GM tombe sur les feuilles des mûriers, plantés sur les banques de riz et aliment de base de ces papillons à soie. Les produits GM ont touché les ruches, remplies de pollen et de suppléments protéiniques fabriqués à partir de soja génétiquement modifié.<br /> <br /><br /> <br />Les expériences sur les plantes GM évoluent constamment ; le commerce est très profitable. Les entreprises américaines liées au commerce de ces plantes ont perçu environ 33 billions de dollars de bénéfice au début du XXIème siècle. On injecte souvent dans les plantes agricoles des gènes de l’insecticide Bt (Bacillus thuringiensis, bactérie dans le sol, présente à l’état naturel), dont les toxines sont insecticides. Il existe environ 50 sortes de bactéries. Certaines études sont faites concernant ces injections qui mènent à la destruction des cuticules chitineuses des insectes et empêchent les protéines de se fixer. Néanmoins, les recherches sur le danger des plantes GM sur la vie des abeilles restent rares. Seules les techniques internationales sont développées dans ce domaine.<br /> <br /><br /> <br />Une menace importante des abeilles par la maladie Nosema est maintenant causée par une nouvelle forme du virus, appelée « Nosema Ceranae ». Il est seulement utilisé pour toucher les petites abeilles asiatiques (appelées aussi abeilles à cire). Nosema Ceranae fut tout d’abord découvert en Corée, à Taiwan et dans d’autres pays du Sud et du sud de l’Asie. Avant l’an 2000, le virus s’est largement propagé et fut repéré en Espagne, en France, puis en Allemagne. Contrairement au virus habituel Nosema qui se déclare au printemps, cette nouvelle maladie touche les abeilles l’été et ne provoque pas de diarrhée. Les ruches où les colonies d’abeilles furent infectées par le virus, ont disparu à l’automne. La prévention et la guérison de ce virus ont soulevé de nombreuses questions. Il n’y a malheureusement jusqu’ici aucun indice qui montrerait que le Nosema Apis pourrait affecter l’Homme.<br /> <br /><br /> ...
Les abeilles du Nord
http://save-bee.com/blog/post/id/156 <strong>Les abeilles du Nord</strong><br /> <br /><br /> <br />Nous savons beaucoup de choses sur les produits apicoles : miel, propolis, pain de miel et gelée royale, mais que savons-nous sur les abeilles qui font produisent tout cela ?<br /> <br /><br /> <br />Nous sommes fiers de vous présenter l’abeille européenne, originaire de la région de Perm et habitant les forêts sombres<br /> <br /><br /> <br /><strong>Informations spécifiques</strong>: <br /> <br />Prénom : Apis (abeille)<br /> <br />Deuxième prénom : Mellifera (miel)<br /> <br />Nom : Mellifera (miel)<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/355.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/355.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/346.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/346.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/350.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/350.jpg" alt="" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/342.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/342.jpg" alt="" /></a> <br /> <br /><br /> <br />La naissance de toutes les abeilles actives date de 2008. Leur espérance de vie est de 35 à 45 jours l’été et un peu plus l’hiver. Aucune abeille n’est née sur Terre au XXème siècle, même pas parmi les reines des abeilles, qui ont pu parfois atteindre l’âge de 7 ou 8 ans. Par conséquent, toutes les abeilles sont apparues au XXIème siècle.<br /> <br /><br /> <br />Toutes les espèces d’abeilles européennes (et oui, il existe également plusieurs espèces d’abeilles !) sont foncées ; leur tergite n’ont presque pas de rayures jaunes et sont un peu plus claires que les sternites, toutes marron. Les sternites de nos abeilles sont de couleur gris foncé, tirant vers le noir. Ceci explique pourquoi les abeilles sont surnommées « foncées ». Elles sont également appelées « abeilles des forêts » : les colonies d’abeilles se sont en effet longtemps réfugiées dans le creux des arbres dans les bois profonds, pour lesquels la Russie est célèbre.<br /> <br /><br /> <br />Nos abeilles sont velues et sont comparables à de petits mammouths. C’est un détail important car elles vivent au Nord. Leur abdomen est rond et la partie postérieure de leur corps est basse et trapue. C’est comme si les abeilles étaient prêtes à décoller, à la recherche de nectar et de pollen. Les abeilles chercheuses savent où trouver leur fourrage. Cette information non négligeable est perceptible grâce à... une danse, absolument magnifique. Les scientifiques sont capables de la déchiffrer : leurs mouvements montrent à quelle distance se trouve le fourrage, alors que la vitesse en détermine la quantité.<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/347.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/347.jpg" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/359.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/359.jpg" alt="" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/343.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/343.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/361.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/361.jpg" alt="" /></a><br /> <br /><br /> <br />Le « statut marital » des abeilles est assez déroutant. Vivre dans une ruche ? Dans un nid d’abeilles ? Faire partie d’une colonie d’abeilles ? Rassemblons donc simplement les abeilles en « familles » et donc en « colonies d’abeilles ». Les abeilles ont des rôles bien déterminés dans les colonies et chacune d’elles peut voir son rôle se modifier en fonction du temps et/ou des circonstances. Il existe les abeilles chercheuses, les constructeurs de peignes, les récolteurs d’eau et de nectar, ainsi que les abeilles qui font le miel et les pains d’abeilles. Certaines font du propolis et édulcorent les ruches, d’autres sont nourricières ou de faux-bourdons et bien évidemment, il existe la reine des abeilles. Même si les abeilles travailleuses ont différents rôles, ce sont toutes des femelles, mis à part les faux-bourdons, incapables de produire quoique ce soit.<br /> <br /><br /> <br />La reine est née sous forme de larve, comme tout autre abeille. Comparée autres abeilles travailleuses, elle a ensuite doublé de volume, grâce à des aliments nutritionnels spécifiques. Les abeilles nourrissent les nouveaux-nés de gelée royale les trois premiers jours, alors que la reine en est nourrie tout au long de sa vie. Ce n’est pas un privilège, mais une nécessité. La reine des abeilles du Nord accumule jusqu’à 3 000 oeufs par jour, le tout excédant leur propre poids. Ce nombre équivaut à 1 000 000 de nouvelles vies par an, soit 7 000 000 de nouveaux-nés durant sa vie.<br /> <br /><br /> <br /><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/345.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/345.jpg" alt="" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/344.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/344.jpg" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/341.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/341.jpg" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/356.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/356.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />Les faux-bourdons ont un rôle très particulier dans la colonie d’abeilles, même s’ils ne sont pas directement impliqués dans les activités des ruches. Leur fonction primordiale est de s’accoupler avec la reine. C’est la raison pour laquelle elles sont nourries correctement, avec les meilleurs miels et pains d’abeilles. Un seul faux-bourdon peut aider à produire jusqu’à plusieurs millions d’abeilles. La fertilisation est leur seul objectif et meurent donc après avoir accompli leur devoir. Le lait des faux-bourdons, basé sur des extraits de couvées de faux- est un produit de valeur qui surpasse la gelée royale pour différentes raisons.<br /> <br /><br /> <br />Succès remarquables: l’abeille mellifère. Les abeilles des forêts noires produisent beaucoup de miel. Plus elles se nichent au Nord, plus elles produisent du miel. Au nord de la région de Perm, par exemple, les abeilles peuvent porter dans leur ruche jusqu’à 85 milligrammes de nectar dans leur bouche en un vol, soit 21 kilogrammes de nectar par jour. Ensuite, le nectar s’évapore avant de se transformer en miel, ce qui amène son volume à se réduire de plusieurs dizaines de fois.<br /> <br /><br /> <br />Si ces abeilles du nord sont si travailleuses, alors pourquoi le volume de miel dans les régions du nord est plus faible que celui des régions du sud ? La raison est simple : le miel est seulement produit 4 ou 5 mois au nord et n’atteint que quinze jours lorsque le temps n’est pas au beau fixe. Au contraire, au sud, le miel peut être produit pendant 7 à 8 mois, voire toute l’année.<br /> <br />Cependant, le miel récolté au nord est suffisant pour subvenir aux besoins des abeilles et même aux nôtres, les êtres humains. Les abeilles du Nord sont aussi connues pour prendre leur envol et récolter du pollen de tilleul, pendant le Soleil de Minuit. Par conséquent, le miel du nord peut être récolté la journée et la nuit.<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/354.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/354.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/364.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/364.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/351.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/351.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/352.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/352.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />Autre avantage: la digestibilité élevée du miel. Les abeilles du nord font du miel qui peut être entièrement digéré, ce qui signifie que le miel ingurgité la veille ne laisse pas de trace le lendemain. Ceci est un trait exceptionnel pour l’hivernage. Nos abeilles doivent vivre 7 mois sous la neige. Vous imaginez quelle torture : hiverner si longtemps, sans avoir la possibilité d’ôter tout résidu non digéré de l’organisme !<br /> <br /><br /> <br />Néanmoins, nos abeilles survivent très bien l’hiver et prennent leur envol à partir de la fin avril. En voyant la vitalité dont elles font preuve au printemps, il est difficile d’imaginer qu’elles ont été closes depuis le mois d’octobre. La raison de leur bien-être est le miel, qui leur fournit une énergie abondante.<br /> <br /><br /> <br />Inconvénients : défense furibonde des nids d’abeilles et venin. Mais est-ce vraiment un inconvénient ? Défendre le miel de meilleure qualité jusqu’à ses dernières gouttes de venin n’est-ce la plus noble des causes ? Les experts en apithérapie sont heureux de constater qu’une piqûre d’abeille contient suffisamment de venin pour alimenter jusqu’à 10 points de l’actif biologique.<br /> <br /><br /> <br /><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/353.jpg" target="_blank"><img width="102" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/353.jpg" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/349.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/349.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/363.jpg"><img width="102" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/363.jpg" alt="" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/371.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/371.jpg" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/348.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/348.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />Congés professionnels<br /> <br /><br /> <br />Il existe quelques fêtes de l’apiculture : Journée de l’Apiculteur, Fête du Sauveur de Miel... Les abeilles ont aujourd’hui leur propre fête : le 14 septembre, Journée Internationale de la Protection des Abeilles.<br /> <br /><br /> <br />Que faisons-nous de spécial ce jour-là ?<br /> <br /><br /> <br />Le choix de la date n’a pas été fait au hasard. Ce jour-là marque le début ou la fin de la saison apicole dans différents coins du monde. La Russie apprécie l’été indien, le changement de saisons, les enfants rentrent à l’école, les étudiants à l'université, les vacances d’été sont finies et les gens reprennent leur travail. Il est donc maintenant grand temps de penser aux abeilles et de rendre cette journée mémorable dans chaque ville.<br /> <br /><br /> <br />Le 14 septembre serait l'occasion d’éduquer les gens sur les abeilles: elles ont besoin de nous. Les apiculteurs sont leurs amis et protecteurs. Qui d’autre pourrait aussi bien s’occuper d’elles, réchauffer leurs ruches lors de l’hivernage ou les nettoyer au printemps ?<br /> <br /><br /> <br />Les gens aussi ont besoin des abeilles. « Apiculture » signifie santé, bien-être, environnement propre et alimentation saine. C’est une activité qui a besoin d’être développée sous différentes formes, afin d’augmenter la production des produits apicoles. Ainsi, tout le monde aura la chance d’apprendre de nouvelles choses sur le secteur de l'apiculture, les manières d’en acquérir certaines compétences et pourquoi pas, s'informer sur les formations dédiées au métier d’apiculteur.<br /> <br /><br /> <br /><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/357.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/357.jpg" alt="" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/358.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/358.jpg" alt="" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/362.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/362.jpg" /></a><a href="http://www.save-bee.com/public/upload/360.jpg" target="_blank"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" src="/public/upload/minimini/360.jpg" alt="" /></a><br /> <br /><br /> <br />Les abeilles peuvent également tomber malades. Elles ont de nombreux ennemis, parmi lesquels l’Homme qui aime manger les produits apicoles, sans se préoccuper de ces insectes.<br /> <br /><br /> <br />Cependant, il n’a jamais été aussi urgent qu’aujourd’hui de protéger les abeilles, sinon elles risquent de disparaître. Comment l’Homme pourrait-il survivre sans pollen et sans miel d’abeilles ? Par chance, la Russie a davantage le temps de s’occuper de ce problème que les Occidentaux. Malheureusement, l’Europe et les Etats-Unis ont déjà perdu les ¾ de leurs abeilles en 2007.<br /> <br /><br /> <br />D’autre part, les abeilles des forêts noires ont augmenté leur nombre ces 10 ou 15 dernières années, malgré un climat rigoureux. L’Apimondia place ses espoirs dans ces insectes. Il y a donc différents programmes concernant l’expansion des abeilles provenant du Nord vers d’autres pays, où l’industrie apicole a besoin de soutien. Leur protection et l’augmentation de leur nombre est devenue une préoccupation mondiale.<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/365.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/365.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/366.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/366.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/367.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/367.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/368.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/368.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />Tout le monde vivrait mieux si on portait davantage d’attention sur le sort des abeilles, si on évitait d’utiliser des herbicides et des pesticides durant la période de floraison et/ou de recueil de nectar, si on faisait pousser davantage de plantes mellifères et si on était heureux d’être piqué par des abeilles, car cela a toujours été signe de chance.<br /> <br /><br /> <br />Les abeilles peuvent aider à guérir de nombreuses maladies. L’apithérapie – qui fait partie du domaine médical, utilise les propriétés propres au venin des abeilles et aux autres produits apicoles, dont le miel est le plus connu et apprécié.<br /> <br /><br /> <br />Notre rêve est d’apporter l’apiculture dans chaque foyer, pour chacun d’entre nous. Cela rendra les gens plus heureux et bien plus sains. Nous avons besoin de ces abeilles pour produire du miel naturel, délicieux et bon pour la santé.<br /> <br /><br /> <br />Nous pouvons soutenir les abeilles, afin qu’en retour, elles nous apportent également leur aide. Il nous suffit de faire passer le mot autour de nous!<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/369.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/369.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/370.jpg"><img width="230" hspace="5" height="153" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/370.jpg" /></a> ...
Traditions apicoles dans des troncs d’arbres creuxTraditions apicoles dans des troncs d’arbres creux
http://save-bee.com/blog/post/id/155 <strong>Traditions apicoles dans des troncs d’arbres creux</strong><br /> <br /><br /> <br />Les abeilles à miel sont arrivées sur Terre plusieurs millions d’années avant l’Homme. Les abeilles des forêts noires se sont étendues des montagnes de l’Oural au Cis-Oural au début de l’époque post-glaciaire. Les premiers hommes qui habitaient dans la forêt avaient pour habitude de récolter le miel, de le manger et de déguster les peignes de miel des abeilles sauvages. Ils cherchaient les nids d’abeilles dans le creux des arbres et en récoltaient le miel. Les premières traces des chasseurs de miel sauvage peuvent être trouvées sur les dessins de grottes, qui datent de plusieurs dizaines de milliers d’années. Les images de chasse au miel furent surtout découvertes en Espagne, dans le sud de l’Oural, en Egypte, en Inde, en Italie et en Allemagne. Les premiers hommes chassaient le miel partout. C’était l’aliment de base des chasseurs et des récolteurs de miel à l’âge de pierre.<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://www.save-bee.com/public/upload/234.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/234.jpg" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/239.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/239.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/245.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/245.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/244.jpg" target="_blank"><img width="250" hspace="5" height="165" border="0" src="/public/upload/minimini/244.jpg" alt="" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/241.jpg"><img width="110" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/241.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />Avec l’arrivée du fer, les hommes ont appris à fabriquer des outils et à construire des creux artificiels dans des troncs d’arbres pour y abriter les abeilles. Ceci fit la différence entre un chasseur de miel et un apiculteur des troncs d’arbres évidés. En choisissant avec attention l’arbre, l’apiculteur des troncs d’arbres évidés le grave avec ses marques de famille. La sélection d’un lieu spécifique dans la forêt où s’abriter, fait appel à de nombreuses compétences poussées qui sont transmises de génération en génération. On a souvent laissé l’arbre choisi grandir durant quelques années. Ensuite, durant la période d’essaimage, l’arbre est habité par des colonies d’abeilles. Un morceau du peigne de miel est fixé sur le haut de la ruche, en vue d’attirer de nouvelles abeilles, qui y attachent alors de nouveaux peignes.<br /> <br /><br /> <br /><a href="http://save-bee.com/public/upload/230.jpg" target="_blank"><img hspace="5" border="0" src="/public/upload/minimini/230.jpg" alt="" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/229.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/229.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/252.jpg"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/252.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/230.jpg" target="_blank"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/230.jpg" alt="" /></a><br /> <br /><br /> <br />Les apiculteurs des troncs d’arbres creux passent beaucoup de temps dans la forêt, sont capables de s’y orienter et connaissent tous les secrets des animaux et des plantes. Une visite de ruchers nous prenait parfois plusieurs jours et nous obligeait à dormir occasionnellement en pleine forêt. Le mode de vie demande à un apiculteur d’être fort, en bonne santé, stoïque et robuste. Les ruches démontables se développent loin les unes des autres. Flânant dans les bois à pieds ou à cheval, l’apiculteur des troncs d’arbres évidés prend avec lui tout l’équipement nécessaire : un kiram, une ceinture de cuir afin de grimper à l’arbre, un outil en bois afin de rester accroché à l’arbre, une serpe, une corde peu épaisse, une hache, un enfumoir et un récipient en bois pour le miel. Tous ces instruments ont été découverts sur un site de sépultures Birsk dans les régions de l’Oural. Les fouilles archéologiques ont été estimées vieilles de plus de 1 500 ans. Ce qui est fascinant, c’est que cet équipement a peu évolué jusqu’à aujourd’hui.<br /> <br /><br /> <br /><a href="http://save-bee.com/public/upload/232.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/232.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/233.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/233.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/235.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/235.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/231.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/231.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/246.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/246.jpg" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/249.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/249.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />Les apiculteurs des troncs d’arbres creux soignent leurs arbres et enlèvent notamment toutes les branches tombantes afin d’éviter tout incendie. Ils fournissent les produits forestiers les plus précieux, le miel de bûche et sont ainsi très respectés. Ces apiculteurs de bûches restent des gens libres dans le temps et dans l’espace. Ils n’ont jamais été ni cerfs ni esclaves. Ils formé une caste d’apiculteurs de troncs d’arbres évidés, composée de personnes indépendantes vivant à la frontière de la civilisation et de la nature et restent encore très liés aux traditions. Les apiculteurs des troncs d’arbres évidés ont transmis leurs savoirs de 100 ans sur les bois et les abeilles aux nouvelles générations. Est apparue alors une dynastie de cette forme d’apiculture. Un tronc d’arbre destiné aux abeilles a des propriétés fixes et n’est donc jamais violé. Ces arbres étaient un signe de richesse. Les apiculteurs des troncs d’arbres évidés font une marque personnelle sur chaque arbre, un « tamga », en signe d’appartenance. Un « tamga » est un vieux mot turc qui signifie marque - personnelle ou familiale ou sceau. Pour les Turcs, le tamga n’est pas l’emblème d’un clan ou d’un groupe ethnique particulier. Les Khans de Mongolie avaient leur propre tamga gravé sur leurs pièces. Les artistes et artisans utilisaient les tamgas comme signature. La représentation graphique des tamgas reste l’écriture runique modifiée par les Turcs.<br /> <br /><br /> <br /><a href="http://save-bee.com/public/upload/236.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/236.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/237.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/237.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/250.jpg" target="_blank"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/250.jpg" alt="" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/247.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/247.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />La propagation des tamgas est due à l’expansion des Tatars-Mongols. Il était alors utilisé pour recevoir de l’argent. Progressivement, le tamga a évolué en une marque distinguable, avant de devenir un écusson. Cet écusson, chez les Ukrainiens par exemple, est le tamga de famille des ducs de Kiev.<br /> <br /><br /> <br />Le mot russe « tamgit’ » (faire une marque avec un tamga), signifie « label ». La douane russe « tamozhnya », est l’endroit où les biens sont imposés et où un label (ou tamga) est apposé sur les biens qui passent la frontière.<br /> <br /><br /> <br />Les Turcs respectent les tamgas, qui se transmettaient de père en fils: ils symbolisent en effet l’appartenance à leur famille et à leurs ancêtres. Les Noghais ont un proverbe : « la nourriture ne vaut pas la peine de perdre son tamga », signe de dignité.<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/248.jpg"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/248.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/249.jpg"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/249.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/254.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/254.jpg" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/253.jpg" target="_blank"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/253.jpg" alt="" /></a><br /> <br /><br /> <br />Les apiculteurs des troncs d’arbres évidés Bachkir marquent par leur tamga les troncs d’arbres choisis. Les tamgas leur était indispensables. Ils étaient gravés sur les outils, brodé sur des vêtements et apposé sur des ustensiles de cuisine. Le tamga était souvent utilisé à la place d’une signature ou d’un poinçon. Les générations futures modifieront sans doute ou incluront un nouvel élément au tamga de leurs ancêtres. <br /> <br /><br /> <br />Les apiculteurs des troncs d’arbres évidés creux ont un sceau similaire, un emblème incrusté sur un arbre, par exemple, et portait un nom particulier : « emblème des 4 seuils » ou encore « emblème d’une bourse. Cela avait un pouvoir particulier. De fait, toute personne qui tentait de prendre possession de l’arbre de quelqu’un d’autre en supprimant son emblème et en la remplaçant par le sien, devait payer 12 pièces.<br /> <br /><br /> <br />Le tamga était aussi utilisé par les Vogouls, les Maris, les Komis et autres habitants des régions de l’Oural et de la Volga, tout comme dans le Grand Nord.<br /> <br /><br /> <br />Les apiculteurs des troncs d’arbres évidés ont exploré de nouvelles terres en se mettant à la recherche de nouvelles plantes mellifères. De nombreux campements ont gardé des noms dérivés de « abeille » ou « ruche dans un tronc ». Ces apiculteurs ont défendu leur terre natale durant les guerres, en formant des troupes qui se distinguaient des autres par leur morale.<br /> <br /><br /> <br />Le territoire russe a acquis une réputation dans le monde pour son miel et sa cire d’abeilles. L’apiculture dans des troncs d’arbres évidés pouvait prospérer grâce à ses grandes forêts remplies de plantes mellifères, une agriculture peu développée et une faible densité de population. Les endroits où il y avait des ruches dans les troncs se sont étendus dans tout le pays de l’ancienne Russie. Les étrangers sont souvent étonnés du nombre de colonies d’abeilles, ainsi que des quantités de miel et de cire d’abeilles. Hérodote avait mentionné le nombre inconcevable d’essaims d’abeilles sur les terres derrières le Danube. L’apiculture dans des troncs d’arbres évidés était une des industries les plus importantes. Certains registres montrent que le miel produit atteignait 48 millions de kilogrammes chaque année au XVIème siècle. La popularité de cette forme d’apiculture est toujours visible dans les noms de famille slaves ou Bachkir. <br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/228.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/228.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/223.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/223.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/224.jpg"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/224.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/220.jpg"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/220.jpg" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/222.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/222.jpg" alt="" /></a><br /> <br /><br /> <br />L’apogée de cette apithérapie a duré jusqu’au XVIIIème siècle. Les progrès techniques ont provoqué le développement industriel. Les forêts ont été rasées afin de satisfaire les besoins des manufactures. Les ruches furent déplacées de leurs ruchers qui demandaient moins de temps pour l’entretien. L’arrivée du sucre et du vin sont le résultat de la consommation élevée en miel de bûche. La lampe à huile supplanta les bougies et diminua la quantité de cire d’abeilles. L’apiculture dans les troncs d’arbres creux a essentiellement décliné au XXème siècle et n’est pratiquée que dans quelques rares coins du monde. Le miel de bûche a des propriétés distinctives : il est rare et cher.<br /> <br /><br /> <br />Sa grande valeur tient à sa maturité. La maturation du miel est un long processus qui commence au moment ou l’abeille place un peu de nectar dans la cellule du peigne. Le miel est alors laissé à mûrir et épaissir, afin que beaucoup d’humidité s’évapore. Les ruches LOG sont les meilleures pour la production de miel de bûche, étant donné que le miel est seulement extrait une fois au début de l’automne. Les ruches de miel traditionnelles sont récoltées plusieurs fois par an, en été.<br /> <br /><br /> <br /><a href="http://save-bee.com/public/upload/226.jpg" target="_blank"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/226.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/225.jpg" target="_blank"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/225.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/227.jpg" target="_blank"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/227.jpg" alt="" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/218.jpg" target="_blank"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/218.jpg" alt="" /></a><br /> <br /><br /> <br />Le miel de bûche est toujours mélangé à de la cire d’abeilles et à des pains et construisent des peignes de miel aux formes bizarres, rendant ainsi impossible l’extraction du miel de manière conventionnelle, c’est-à-dire grâce à la force centrifuge.<br /> <br /><br /> <br />Un autre avantage de la production de miel en troncs creux reste les conditions naturelles dans lesquelles vivent les abeilles. La localisation en altitude rend l’air à l’intérieur de la ruche plus sec qu’au sol ; les ruches dans les troncs sont caractérisées par des températures plus stables. Les abeilles dans les troncs prennent leur envol avant les abeilles vivant dans des ruches traditionnelles. Les abeilles des forêts travaillent une heure à une heure et demi de plus que les abeilles des ruches. Elles s’envolent lorsque les températures sont plus fraîches, voire quand il pleut.<br /> <br /><br /> <br /><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/221.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/221.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/219.jpg"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/219.jpg" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/231.jpg"><img width="111" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/231.jpg" /></a><a href="http://save-bee.com/public/upload/242.jpg" target="_blank"><img width="110" hspace="5" height="166" border="0" src="/public/upload/minimini/242.jpg" alt="" /></a><a target="_blank" href="http://save-bee.com/public/upload/238.jpg"><img width="250" hspace="5" height="166" border="0" alt="" src="/public/upload/minimini/238.jpg" /></a><br /> <br /><br /> <br />Enfin, le miel de bûche est un produit entièrement naturel. Les ruches dans les troncs sont conservées au fond des bois et ainsi ne sont pas touchées par la pollution industrielle.<br /> <br /><br /> ...
Internationale de Protection des Abeilles
http://save-bee.com/blog/post/id/30 Internationale de Protection des Abeilles ...
Ce que nous pouvons faire
http://save-bee.com/blog/post/id/25 <strong> Pourquoi les abeilles?</strong><br /> <br /><br /> <br />Les abeilles sont les principaux insectes pollinisateurs des arbres fruitiers, arbustes, arbres à baies, légumes, plantes fourragères, plantes des champs, des prairies et des bois, ainsi que des cultures agricoles variées. Tous ces végétaux ont des fleurs bisexuelles, c’est-à-dire que leur pollen ne peut fertiliser les ovaires des fleurs. La fertilisation sollicite donc le pollen d’autres plantes et peut être partiellement accomplie par l’Homme, le vent, l’eau ou d’autres insectes (papillons, mouches…). Toutefois, nul ne peut égaler la pollinisation approvisionnée par les abeilles (environ 85%). En moyenne, une colonie d’abeilles d’environ 30 000 insectes peut visiter jusqu’à 2 millions de fleurs par jour.<br /> <br /><a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post1_1.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post1_1sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post1_2.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post1_2sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post1_3.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post1_3sm.jpg" /></a><br /> <br />Les produits apicoles peuvent rétablir l’équilibre des organes et des systèmes du corps humain. Le miel, principale production des ruches, offre incontestablement la plus précieuse des nutritions. C’est le seul élément cité sur différents monuments historiques, dans la mythologie de l’Inde ancienne, les papyrus égyptiens, la Bible et le Coran. La Bible le mentionne même 40 fois (!). D’autres produits apicoles, tels que le pollen, la cire d’abeille, le propolis, le pain d’abeilles, la gelée royale ou les progénitures d’abeilles, sont aussi fréquemment utilisées. Par ailleurs, les piqûres d’abeilles participent activement au rétablissement de l’ensemble du corps humain.<br /> <br /><br /> <br />Les abeilles sont les seuls insectes à contribuer indirectement à la fabrication de nombreux prouduits naturels. Elles participent, par exemple, à la production de viande car le fourrage du bétail dépend de la pollinisation des abeilles. De plus, les abeilles sont capables de purifier les produits et sont indispensables à la surveillance de l’environnement. Ainsi, en plus des mesures prises habituellement, des ruches ont été installées pour contrôler la qualité de l’air à l’aéroport Saint-Exupéry de Lyon en 2007. <br /> <br /><br /> <br /><strong>Les abeilles en danger</strong><br /> <br /><br /> <br /><strong>Albert Einstein</strong> avait autrefois annoncé que si les abeilles en venaient à disparaître, alors l’Homme n’aurait pas plus de quatre années à vivre ; mais cette idée fut longtemps ignorée. Cependant, 2007 a vu s’effondrer le nombre de colonies d’abeilles aux Etats-Unis, en Suisse, en Espagne, au Portugal, en Italie, en Grèce et en Grande Bretagne, avec une perte allant de 20 à 80% ! La pollution de l’environnement, le nombre décroissant de plantes mellifères, l’utilisation de produits chimiques dans la production alimentaire, les maladies incurables chez les abeilles et l’affaiblissement de leur immunité expliquent notamment cela.<br /> <br /><a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post2_1.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post2_1sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post2_2.jpg"><img height="200" width="133" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post2_2sm.jpg" alt="" /></a><br /> <br />Les maladies touchant les abeilles sont très dangereuses : leur propagation dans le monde est en effet très rapide et ne laisse pas assez de temps aux scientifiques pour trouver un remède approprié.<br /> <br />Les maladies les plus dévastatrices pour les colonies d’abeilles demeurent : <br /> <br />- les mites trachéales,<br /> <br />- les mites Varroa, <br /> <br />- Nosema,<br /> <br />- et la loque américaine<br /> <br />Seul un diagnostic rapide et fiable permet aux nombreux traitements existants d’être efficaces. Si on néglige la maladie, alors les abeilles (et l’être humain !) ne pourront survivre et toutes les colonies d’abeilles périront.<br /> <br /><br /> <br />Même si les oiseaux et les animaux sauvages (souris, musaraignes et mésanges) sont considérés comme des menaces mortelles pour les abeilles, l’Homme demeure leur principal ennemi. Les scientifiques pensent que le déclin des plantes méllifères provient de l’utilisation massive de produits chimiques agricoles dans la production alimentaire et de l'emploi de pesticides. Certains pesticides (Deltaméthrine, Lambda Cyhalothrine, Imidaclopride et Fipronil) sont utilisés dans les pays développés depuis longtemps et des signes évidents montrent qu’ils sont toxiques pour les abeilles. Ces dernières années, certains pays européens ont interdit l’emploi de ces pesticides. Depuis que le monde est devenu un village planétaire, les difficultés liées à l’apiculture ne peuvent être traitées indépendamment dans chaque pays. Chaque problème dépasse en effet toutes les frontières géographiques.<br /> <br /><a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post2_3.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post2_3sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post2_4.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post2_4sm.jpg" /></a><br /> <br />D’après certaines théories, l’impact négatif sur les abeilles serait également dû au réchauffement planétaire, à l’émission des émissions électromagnétiques des lignes de transmission électrique et de stations de communications mobiles, ainsi qu’à la production de marchandises génétiquement modifiées. Cependant, rien n’a encore été prouvé et davantage de recherches scientifiques sont requises.<br /> <br /><br /> <br />En 2006, les chercheurs ont appelé ce phénomène : « Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles (ou CCD pour l'expression anglaise « Colony Collapse Disorder »). Ceci est le résultat de la « disparition » de toutes les abeilles à miel de leur ruche, et ce, de manière inattendue et inexplicable.<br /> <br /><br /> <br />Les abeilles sont arrivées sur Terre des millions d’années avant l’Homme. Tout ce temps leur a permis de se surpasser au niveau de leur déplacement par vol, à tel point que l’Homme ne peut les concurrencer qu’à l’aide de méthodes très complexes. De fait, la perte rapide de leur capacité d’orientation peut être expliquée par une violente interférence de l’Homme sur l’équilibre naturel.<br /> <br />De nombreuses études ont été faites et plusieurs théories expliquent l’apparition du CDD, mais nous n’avons encore aucune certitude à ce sujet : l’influence de chaque facteur qui mettrait en péril les abeilles n’a pas encore été explorée.<br /> <br /><br /> <br /><strong>Comment sauver les abeilles</strong><br /> <br /><br /> <br />Après des années d’analyses méticuleuses, l’objectif mondial a été finalement fixé sur la reproduction des abeilles pouvant résister à toutes les maladies connues. Une telle entreprise débute seulement et nous en attendons avec impatience les résultats.<br /> <br /><a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_1.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_1sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_2.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_2sm.jpg" /></a><br /> <br />De nouveaux médicaments plus efficaces sont nécessaires car tous les parasites résistent d’une certaine manière au traitement.<br /> <br /><br /> <br />Le public doit être conscient de la gravité des problèmes touchant à la fois les abeilles et l’équilibre naturel. De nos jours, seulement les scientifiques et les apiculteurs en sont préoccupés. Néanmoins, si davantage de gens sont touchés et se sentent concernés par les discussions liées à l’équilibre vital entre agriculture, la foresterie et l’apiculture, alors plus vite les problèmes actuels concernant l’apiculture et le respect de l’environnement seront résolus. D’autre part, protéger et développer l’apiculture garantissent une agriculture et une sylviculture florissantes pour les années à venir. Il est essentiel de faire passer le message afin d’encourager le monde à agir, en vue de développer les différentes formes d’agriculture sur le long terme et non en recherchant des bénéfices immédiats, ce qui serait une manière pour l’Humanité de scier la branche sur laquelle elle est assise.<br /> <br /><a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_3.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_3sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_4.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_4sm.jpg" /></a> <br /> <br />Il est donc indispensable de soutenir le secteur apicole et d’éviter que les abeilles à miel ne tombent malades. Pour cela, des mesures prises au niveau mondial sont nécessaires. Cela permettrait notamment de recueillir des chiffres exacts et d’actualiser les statistiques concernant les abeilles saines et celles touchées par la maladie, en vue de prendre des mesures adéquates partout dans le monde.<br /> <br /><a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_5.jpg"><img height="200" width="133" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_5sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_6.jpg"><img height="200" width="133" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_6sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_7.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_7sm.jpg" /></a><br /> <br />Promouvoir l’apiculture est primordial. Malheureusement, les connaissances de la jeunesse restent limitées sur le travail difficile - quoique noble, d’un apiculteur. Une vraie promotion peut attirer un nombre non négligeable de jeunes qui débutent dans le métier en créant leur entreprise apicole ou qui s’initient à un passe-temps rentable, afin de compléter leur travail à plein temps. Après tout, préserver les abeilles signifie vivre dans la nature, être loin de la pollution, du stress, du bruit et de la fatigue liés à la vie citadine.<br /> <br /><br /> <br />Davantage de livres et de guides devraient être édités sur l’apiculture, dans lesquels serait expliqué la manière d’ouvrir son propre commerce apicole.<br /> <br /><a href="/public/upload/image/whatwecan/post3_8.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_8sm.jpg" /></a> <a target="_blank" href="/public/upload/image/whatwecan/post3_9.jpg"><img height="200" width="300" alt="" style="margin: 5px;" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_9sm.jpg" /></a> <a href="/public/upload/image/whatwecan/post3_10.jpg" target="_blank"><img height="200" width="300" src="/public/upload/image/whatwecan/post3_10sm.jpg" style="margin: 5px;" alt="" /></a><<br /> <br />Les enfants, dès le plus jeune âge, ne devraient pas être oubliés lorsqu’on fait la promotion de ce secteur. Des bandes dessinées, des dessins animés et des jeux sur ordinateur - avec pour héros les abeilles, aideraient l’enfant à comprendre les raisons pour lesquelles il est essentiel de protéger les abeilles, ainsi que l’équilibre naturel. <br /> <br /><br /> <br /><strong>Journée Internationale de la Protection des Abeilles</strong><br /> <br /><br /> <br />En 2008, la Tentorium Apicompany (Russie) a démarché auprès des Nations Unies avec le projet d’établir une journée internationale - le 14 septembre, sous le nom de « Journée Internationale de la Protection des Abeilles ».<br /> <br />Nous avons choisi spécialement cette date parce que cette journée marque le début ou la fin de la saison apicole dans différents coins du monde. Depuis six ans déjà, on a célébré la fin de cette saison le 14 septembre en Russie, au Kazakhstan, en Ukraine, dans les pays baltes, en Azerbaïdjan, au Kirghizstan et dans les autres états de la CEI.<br /> <br /><br /> <br />La Journée Internationale de Protection des Abeilles nous permettra d’unir nos forces en vue de protéger et de préserver les abeilles. L’ouverture de nouveaux projets gouvernementaux, de programmes et d’évènements spécifiques permettra d’attirer l’attention de l’humanité sur ce problème.<br /> <br /><br /> <br />La Journée Internationale de Protection des Abeilles servira à éduquer et à informer le grand public sur la valeur du miel et d’autres produits apicoles, étant donné qu’ils sont sains et indispensables à une vie saine. De plus, cela nous permettra de promouvoir la plantation de plantes mellifères dans les jardins et d’inciter à ne plus utiliser de pesticides pendant la période de floraison. Cela favorisera la production de produits alimentaires naturels et développera l’agriculture et la sylviculture.<br /> <br /><br /> <br />Tous ceux qui auront lu cet article et se sentent concernés par le sort des abeilles peuvent dès maintenant apporter leur contribution en aidant à établir cette Journée Internationale de Protection des Abeilles. Alors votez dès à présent sur notre site et obtenez un certificat personnalisé pour votre collaboration. Ensemble, rien n’est impossible! ...
La contribution volontaire
http://save-bee.com/blog/post/id/22 <br /> <br /><strong>La personne à contribuer pour WSBF (Le Contribuant)</strong><br /> <br /><br /> <br /><strong>La contribution volontaire pour WSBF vous donne le droit:</strong><br /> <br />• Prendre part à la décoration d’un ordre « l’abeille d’or ». Chaque année pour les trois meilleurs Contribuants se sont accordés les ordres.Le chevalier d’un ordre est devenu le membre honoraire de WSBF;<br /> <br />• Etre le paticipant des evenements et des projects spéciaux de WSBF;<br /> <br /><br /> <br />D’un jour de la rentrée d’argent sur le compte bancaire de la Fondation:<br /> <br />• A l’adresse du Contribuant on envoie le lettre de remerciement de WSBF . au nom du Président de la Fondation Khismatoulin Rail Gabdoukhakovich. On envoie le lettre de remerciement par e-mail ou par la poste;<br /> <br />• Vos coordinations(nom, prénom, pays et ville de l’habitation, le métier) déplacent sur le site www.save-bee.com dans le Livre D’or WSBF.<br /> <br /><br /> <br />En cas de prendre la decision de faire les dépots pour la Fondation il faut remplir L’accord sur la <a href="/public/upload/file/fr_donate_agreement.doc">contribution volontaire</a>.<br /> <br /><br /> <br /><form method="post" action="https://www.paypal.com/cgi-bin/webscr"> <br /> <input type="hidden" value="_s-xclick" name="cmd" /> <input type="hidden" value="8158830" name="hosted_button_id" /> <input border="0" type="image" alt="PayPal - The safer, easier way to pay online!" name="submit" src="https://www.paypal.com/en_US/DE/i/btn/btn_donateCC_LG.gif" /> <img height="1" border="0" width="1" src="https://www.paypal.com/en_US/i/scr/pixel.gif" alt="" /> <br /></form> ...
Le partenariat pour les companies
http://save-bee.com/blog/post/id/21 <strong><br /> <br />La partitipation au mouvement pour la protection des abeilles et l’avenir de la planète</strong> c’est une possibilité de déclarer sur sa companie comme le business orienté envers la société.<br /> <br /><br /> <br /><strong>L’ appartenance à la Fondation donne le droit pour votre companie:</strong><br /> <br />• Prendre part à toutes les activités de la Fondation;<br /> <br />• Prendre part à la réunion public avec le droit de vote en toutes les questions;<br /> <br />• Recevoire l’information sur les activitées de la Fondation;<br /> <br />• Exprimer son opignon aux referendums, sondages et questionnaires de la Fondation;<br /> <br />• Marquer le sign de WSBF sur les étiquettes de nos produits en passant le contract avec la Fondation;<br /> <br />• Déposer le label de l’organisation sur les banners , les matérials imprimés et les images de marque de WSBF en passant le contract avec la Fondation;<br /> <br />• Le chèf de l’Organisation recevoit l’ insigne spécial de membre de WSBF et la possibilité de donner la référance sur ce status pour convenances personnelles;<br /> <br /><br /> <br />D’un jour de la rentrée d’argent sur le compte bancaire de la Fondation:<br /> <br />• A l’adresse de l’organisation on envoie le sertificat personelle du membre de WSBF . On envoie le serificat par e-mail ou par la poste;<br /> <br />• Les coordinatons de l’organisaton (nom, logo, pays et ville de l’ établissement principal, l’activité principal ) déplacent sur le site www.save-bee.com dans le Livre D’or WSBF.<br /> <br />• L’insign de Membre de WSBF s’est presenté à la première partitipation personelle des evenements de WSBF.<br /> <br /><br /> <br /><strong>Le droit d'entrée</strong> est fixé d'un montant de ne pas moins € 30. <strong>La cotisation</strong> est fixé d'un montant de ne pas moins €15. Les cotisations sont payées une fois par un an, en period de premier trimestre de chaque année. Les cotisations peuvent etre payées dans toutes les valeures d’après le cours du jour.<br /> <br /><br /> <br /><strong>Votre organisation</strong> peut devenir le membre de WSBF. Pour cela, il est necessaire d’apprendre <a href="/public/upload/file/en_membership_memorandum.doc">Le réglement d’appartenance</a>. En cas de prendre la decision de devenir le membre de la Fondation il faut remplir <a href="http://www.save-bee.com/udeclarations/add/">Le questionnaire</a>.<br /> ...
Devient le member de WSBF
http://save-bee.com/blog/post/id/20 <strong><br /> <br />Le membre actif de WSBF</strong><br /> <br /><br /> <br />L’ appartenance à la Fondation donne le droit pour vous :<br /> <br />• Prendre part à toutes les activités de la Fondation ;<br /> <br />• Prendre part à la réunion public avec le droit de vote en toutes les questions ;<br /> <br />• Recevoire l’information sur les activitées de la Fondation ;<br /> <br />• Voter aux referendums de la Fondation ;<br /> <br />• Exprimer son opignon aux sondages et questionnaires de la Fondation ;<br /> <br />• Avoire l’ insigne spécial de membre de WSBF et la possibilité de donner la référance sur ce status pour convenances personnelles ;<br /> <br />A n’importe quel membre de la Fondation peut etre donné le Status du membre honoraire de la Fondation pour les mérites spéciaux devant la Fondation.<br /> <br /><br /> <br />D’un jour de la rentrée d’argent sur le compte bancaire de la Fondation :<br /> <br />• A votre adresse on envoie le sertificat personelle du membre de WSBF . On envoie le serificat par e-mail ou par la poste ;<br /> <br />• Vos coordinations(nom, prénom, pays et ville de l’habitation, le métier) déplacent sur le site www.save-bee.com dans le Livre D’or WSBF .<br /> <br />• L’insign de Membre de WSBF s’est presenté à la première partitipation personelle des evenements de WSBF.<br /> <br /><br /> <br />Le droit d'entrée est fixé d'un montant de ne pas moins € 15. La cotisation est fixé d'un montant de ne pas moins €10. Les cotisations sont payées une fois par un an, en period de premier trimestre de chaque année. Les cotisations peuvent etre payées dans toutes les valeures d’après le cours du jour .<br /> <br />Vous pouvez devenir le membre de WSBF. Pour cela, il est necessaire d’apprendre <a href="/public/upload/file/en_membership_memorandum.doc">Le réglement d’appartenance</a>. En cas de prendre la decision de devenir le membre de la Fondation il faut remplir <a href="http://www.save-bee.com/declarations/add/">Le questionnaire</a>.<br /> <br /><br /> <br /><strong>Le membre honoraire de WSBF</strong><br /> <br />A n’importe quel membre actif de la Fondation peut etre donné le Status du membre honoraire de la Fondation pour les mérites spéciaux devant la Fondation.<br /> <br />• Au membre honoraire de WSBF on donne le Sertificat personnelle , l’information et l’allocution de son nom sont déplacés sur le site www.save-bee.com dans le Livre D’Or de WSBF;<br /> <br />• Les allocutions des membres honoraires sont déplacés aux matérials imprimés et les images de marque de WSBF;<br /> <br />• Les membres honoraires sont les visiteurs honoraires dans tous les evenements de WSBF<br /> ...
Journée Internationale de la Protection des Abeilles: conditions et termes utilisés sur le site
http://save-bee.com/blog/post/id/9 <p><strong>Journée Internationale de la Protection des Abeilles: conditions et termes utilisés sur le site</strong><br /> <br /><br /> <br /><br /> <br /><strong>I. Introduction</strong><br /> <br /><br /> <br />1.1. Le site www.save-bee.com, save-bee.ru, www.save-bee.org, http://www.save-bee.com, http://www.save-bee.com, http://www.save-bee.com (ci-après, nous nous y réfèrerons comme « Site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles ») a été créé avec l’idée de faire la promotion et de sensibiliser le monde sur la question de la décimation des abeilles, en vue d’unir les forces de toutes les personnes qui se sentent concernées et de trouver ensemble une « solution » à ce problème mondial.<br /> <br /><br /> <br />1.2. Le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles a pour objectif d’attirer l’attention des gens sur l’environnement.<br /> <br /><br /> <br />1.3. Le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles s’efforce d’aider les visiteurs du site à rencontrer de nouveaux amis ou personnes partageant les mêmes intérêts qu’eux, de partager leurs savoirs et leurs expériences sur le sujet et d’exprimer leur opinion concernant la décimation de ces insectes.<br /> <br /><br /> <br />1.4. Dans le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles figurent des articles traitant du monde des abeilles, du problème lié à leur décimation et d’éventuelles solutions à ce problème, ainsi que des annotations, des citations et autres documents, le tout illustré d’analyses critiques et de photographies. Toutes les personnes inscrites sur le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles sont invitées à les télécharger sous certaines conditions, énumérées par la suite.<br /> <br /><br /> <br />1.5. En téléchargeant les textes et/ou photographies sur la Journée Internationale de la Protection des Abeilles, vous devez impérativement soustraire aux termes et conditions citées ci-dessous. Si vous les refusez, vous êtes alors prié de vous abstenir de visiter notre site et de l’utiliser. Nous nous octroyons par ailleurs le droit de modifier ces termes et conditions à tout moment. Cependant, nous vous tiendrons au courant de tout changement. Tout texte et/ou photographie téléchargé sur la Journée Internationale de la Protection des Abeilles, après d’éventuelles modifications, implique votre consentement total. Vous êtes par conséquent invité à consulter régulièrement les Termes et Conditions du site.<br /> <br /><br /> <br /><br /> <br /><strong>II. Droits d’auteur</strong><br /> <br /><br /> <br />2.1. Sur le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles, tout utilisateur a le droit de télécharger photos, textes, articles, analyses critiques et autres publications (ci-après, nous nous y réfèrerons comme « texte ») qui ont été créés de manière individuelle ou collective. L’Administration du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles ne doit jamais ni vérifier les droits d’auteurs des textes, ni porter la responsabilité de textes téléchargés sur le site qui auraient été écrits par d’autres auteurs. Mais en cas de plagiat, le compte et le message seront effacés sans préavis ni explication. Si on suspecte un plagiat, le message et le compte avec l’adresse IP seront effacés et bloqués jusqu’à nouvel ordre. Tout droit sur textes et photographies est réservé à leurs auteurs. Les utilisateurs doivent signer leurs textes et leurs photographies. Toute reproduction diffusée dans des médias de masse - dont Internet, est interdite sans le consentement écrit de l’auteur. Le site de l’Administration mettra en œuvre tous ses efforts afin de ne pas avoir à recourir à un tiers et ne communiquera rien sur le sujet susmentionné. L’Administration n’est en rien responsable des informations contenues dans les textes et les photographies et évitera tout communiqué sur le sujet, étant donné que son opinion ne correspond pas toujours au point de vue des auteurs. Toute édition d’un texte téléchargé sur le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles est impossible si l’adresse e-mail de l’auteur est insérée.<br /> <br /><br /> <br />2.2. Vous n’avez aucun droit (sans le consentement écrit de l’Administration du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles) de copier, de reproduire, de séparer, de modifier, de distribuer, de publier, d’exposer, de changer, de recréer, de transférer ou d’utiliser, d’une quelconque manière que ce soit, une partie du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles ou des informations y figurant, sauf si:<br /> <br />- la copie est unique,<br /> <br />- les informations téléchargées et/ou leur copie sont destinées à des démarches à but non lucratif et pour son simple intérêt personnel,<br /> <br />- vous sauvegardez précieusement les informations téléchargées et/ou leur copie, avec les annotations concernant leurs droits d’auteurs.<br /> <br /><br /> <br />2.3. Toute ressource (photos, articles, analyses…) est protégée par des droits d’auteur. Un rapport destiné à la Journée Internationale de la Protection des Abeilles, à l’auteur du texte et/ou de la photographie est obligatoire lorsqu’il y a copie. Vous acceptez également par la présente que tout administrateur du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles puisse effacer, éditer ou déplacer toute section de votre texte et/ou photographie téléchargée.<br /> <br /><br /> <br />2.4. En tant qu’utilisateur, vous acceptez que tout texte et/ou photographie téléchargée et données personnelles soient stockées dans une base de données. Même si cette information ne sera pas diffusée à un tiers sans votre consentement, l’Administration du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles ne sera en rien responsable des actions pirates, résultant d’un accès non-autorisé.<br /> <br /><br /> <br />2.5. Avec le consentement écrit de l’Administration du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles, vous avez le droit de propager le contenu du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles ou toute partie de celui-ci par tous les moyens que vous souhaiterez utiliser (télévision par satellite, radio, réseau informatique). Avec le consentement écrit du site de l’Administration de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles, vous avez le droit de rendre toute partie du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles accessible sur d’autres sites, par le biais d’hyperliens (ou autres). Vous avez également le droit d’utiliser et de stocker des informations contenues dans le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles en créant une base de données à laquelle vous-même ou un tiers aura accès.<br /> <br /><br /> <br /><strong>III. Termes et Conditions pour télécharger les textes et les photographies</strong><br /> <br /><br /> <br />3.1. Tout signe de nationalisme ou d’appel à la violence est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">strictement interdit</span>.<br /> <br />3.2. Tout langage déplaisant est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdit</span>.<br /> <br />3.3. Toute insulte envers les visiteurs du site ou les administrateurs est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdite</span>. Une insulte peut résulter d’un doute sur les qualifications professionnelles, sur une plaisanterie, sur un nom ou un surnom, sur une erreur d’imprimerie, sur une translittération, sur une mauvaise transcription ou traduction d’un nom ou d’un surnom. Si vous n’appréciez pas un texte ou une photographie en particulier, alors n’y prêtez pas attention.<br /> <br /><br /> <br />3.4. Toute discussion ouverte sur la politique de l’Administration du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles et sur les actions de l’Administration est formellement <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdite</span>. Si les actions de l’Administration ou un manque dans ses démarches vous gène, contactez l’administrateur ou les modérateurs du site par e-mail et réglez le problème de façon privée.<br /> <br /><br /> <br />3.5. <span style="color: rgb(255, 0, 0);">Les auteurs</span> des photographies et/ou textes, articles et toute autre publication (ci-après, nous nous y réfèrerons comme «texte») sont responsables de toutes les données publiées et du contenu de leurs messages. La personne qui cite quelque chose est donc responsable des citations qu’elle publie.<br /> <br /><br /> <br />3.6. Toute publication de photographie pornographique est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdite</span> (cf Code sur la Criminalité de la Fédération de Russie). Toute publication de photographies érotiques (adultes et/ou enfants) est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdite</span>. Autrement, le profil de l’utilisateur et son adresse IP seront instantanément bloqués et les photos seront effacées. Dans le doute, certaines photos sélectionnées seront effacées.<br /> <br /><br /> <br />3.7. Toute publication en images ou de texte présentant des scènes de violence est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdite</span>, sans quoi, le profil de l’utilisateur et son adresse IP seront instantanément bloqués.<br /> <br /><br /> <br />3.8. Tout abus de téléchargements de textes ou de photographies est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdit</span>. Si c’est le cas, le texte et/ou la photographie sera immédiatement effacé. En cas de récidive, le profil de l’utilisateur et son adresse IP seront instantanément bloqués. <br /> <br /><br /> <br />3.9. Aucune photographie ni texte <span style="color: rgb(255, 0, 0);">ne doit</span> faire la promotion de biens ou d’entreprises. Le terme «promotion» comprend la référence à une entreprise en y incorporant les moyens de la contacter (e-mail, adresse de site Internet…). Autrement, le profil de l’utilisateur et son adresse IP seront automatiquement bloqués. Citer le nom d’un hôtel n’est pas une infraction si l’hôtel est présent sur la photographie et si celle-ci est pertinente avec la discussion menée. Des photographies figurant accidentellement sur des panneaux et panneaux d’affichage, la publicité sur les transports en commun et autres, ne sont pas considérés comme de véritables publicités. L’Administration espère que le terme « accidentellement » sera compris de manière appropriée.<br /> <br /><br /> <br />3.10. Toute publicité d’un site Internet comportant photographies et textes est <span style="color: rgb(255, 0, 0);">interdite</span>. Les numéros de téléphone et autres manières d’être contacté sont également interdits. L’infraction de cette clause peut amener le profil de l’utilisateur et son adresse IP à être automatiquement bloqués. <br /> <br /><br /> <br />3.11. Si vous avez trouvé un texte et/ou une photographie compromettante, qui enfreint les Termes et Conditions de ce règlement, vous êtes prié d’en faire part à l’Administration du site. Mettre de telles choses sur le site amène à l’impossibilité future de se connecter au site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles. C’est une des raisons pour lesquelles toutes les adresses IP et les messages sont enregistrés : ils facilitent de telles actes. Vous acceptez par la présente que l’Administration efface ou édite votre message sur le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles.<br /> <br /><br /> <br />3.12. L’Administration n’a aucune obligation de correspondre ou de justifier ses actions ou un manque quelconque sur la modération du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles.<br /> <br /><br /> <br />3.13. Les photographies et les textes qui ne respectent pas à l’article 1 de ce règlement, qui ne sont pas conformes au style littéraire ou qui comprennent des erreurs au niveau de l’orthographe, du style, de la ponctuation, de la morphologie ou autres, peuvent être retirés par l’Administration du site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles sans avertissement.<br /> <br /><br /> <br />3.14. Tout texte et toute photographie téléchargé sur le site de la Journée Internationale de la Protection des Abeilles ne doit pas violer les lois de votre pays, les lois internationales et les lois du pays d’où provient le site.</p> ...
Pétition pour l’ONU
http://save-bee.com/blog/post/id/4 <img hspace="10" height="400" border="0" width="267" align="right" title="Раиль Хисматуллин" alt="Rail Khismatullin" src="/public/upload/image/Rail.jpg" style="margin-left: 10px;" /><br /> <br />Les abeilles jouent un rôle prépondérant dans la protection et le développement des ressources naturelles. Elles sont en effet les seuls insectes dans le monde à être indirectement impliqués dans la production de toutes sortes de produits naturels. Les abeilles sont aptes à nettoyer les produits de toute substance nuisible et sont utilisées pour surveiller l’environnement écologique. De plus, les produits apicoles sont connus pour réguler les fonctions de l’organisme humain.<br /> <br /><br /> <br />Nous sommes persuadés que tout effort visant la protection des abeilles, lié à la promotion des produits apicoles est utile à de nombreux égards : cela permettra de conserver la variété des espèces d’abeilles et d’intensifier l’attention portée au rôle primordial qu’elles jouent sur Terre et de prôner un mode de vie sain.<br /> <br /><br /> <br />Nous avons choisi spécialement le 14 Septembre, étant donné que cette journée marque le début ou la fin de la saison apicole dans différents coins du monde. Depuis cinq ans déjà, on a célébré la fin de cette saison le 14 Septembre en Russie, au Kazakhstan, en Ukraine, dans les pays Baltes, en Azerbaïdjan, au Kirghizstan et dans les autres états de la CEI.<br /> <br /><br /> <br />La Journée Internationale de Protection des Abeilles nous permettra d’unir nos forces en vue de protéger et de préserver les abeilles. L’ouverture de nouveaux projets gouvernementaux, de programmes et d’évènements spécifiques permettra d’attirer l’attention de l’humanité sur ce problème.<br /> <br />La nouvelle génération doit être informée sur les lieux où se trouvent les ruches et sur la formation à suivre pour devenir apiculteur.<br /> <br />Il est en effet essentiel d’informer le public sur la valeur du miel et des autres produits apicoles, étant donné qu’ils sont indispensables à une vie saine!<br /> <br /><br /> <br />Plantons des plantes mellifères dans nos jardins et tentons surtout de ne plus utiliser de pesticides pendant la période de floraison. Cela favorisera la production de produits alimentaires naturels et développera l’agriculture !<br /> <br /><br /> <br />Protégeons et occupons-nous du sort des abeilles, en protégeant l’environnement, afin de défendre les abeilles et favoriser leur bien-être!<br /> <br /><br /> <br /><em>Rail Khismatullin<br /> <br />Président et fondateur de Tentorium Apicompany</em><br /> <br /><br /> ...